Mon manifeste sur la santé

Mon manifeste sur la santé

Malgré les prouesses technologiques et les discours de progrès, jamais l’être humain n’a autant plongé dans la maladie, la misère et la violence.

Nous vivons dans un monde où l’intelligence s’est coupée de la sagesse, où l’organisation a remplacé l’harmonie, et où la performance écrase peu à peu tout ce qui est vivant, sensible, profond.

Les signes sont partout :

- Une épidémie de maladies chroniques, d’insomnie, de dépression, qui pousse des millions d’individus à chercher refuge dans la drogues, l'alcool, les réalité virtuel...

- Une minorité de prédateurs économique qui concentre les richesses, créant un fossé entre ceux qui vivent dans une opulence démesuré et ceux qui luttent simplement pour survivre.

- Une montée inquiétante des tensions, des conflits, des incivilités — comme si l’agressivité devenait la norme et la paix, un luxe.

Ce mal n’est pas réservé à une classe, une culture ou un pays. Il est systémique.

Il touche tous les peuples, tous les âges, toutes les strates de la société. Il se diffuse dans les corps, les esprits, les relations, les structures.

Et pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi.

Il a existé des civilisations — plus anciennes qu’on ne le croit — qui savaient vivre autrement.

Des peuples où l’équilibre entre l’individu, la communauté et le vivant était au cœur de toute organisation.

Des cultures fondées sur l’expérience intérieure, la transmission de la sagesse, le respect des rythmes naturels, et la recherche d’un ordre profond, à la fois social, biologique et spirituel.

Depuis la chute de ces sociétés fondées sur l’harmonie, notre monde moderne a poursuivi une trajectoire de rupture : rupture avec le corps, rupture avec le sens, rupture avec la nature.

Aujourd’hui, cette rupture atteint son apogée.

Mais toute chute porte en elle un seuil.

Le moment de choisir entre se noyer… ou faire un appel du pied.

=={Image piscine Julia}==

### Pourquoi c’est important

#### 2.1 Impact

Si cette trajectoire se poursuit, la souffrance globale ne fera que croître.

Individuellement, des millions d’êtres humains continueront à s’enfoncer dans la misère, la maladie et la violence, privés de paix intérieure et de joie véritable.

Collectivement, nous construirons une civilisation sans vie, sans âme. Une structure froide, artificielle, où le vivant est mécanisé, les émotions étouffées, et l’esprit humain conditionné pour servir un système qui ne fait que le dégrader

À terme, deux humanités se dessineront :

- Les hommes-machines, technologiquement augmentés, mais déconnectés de leur essence, vivant sous contrôle, sans ancrage, ni liberté réelle.

- Et les hommes-anges, porteurs d’une autre voie, capables d’utiliser la science et la technologie mais sans renier la sagesse intérieure et les lois universelles. Ils vivront en harmonie avec l'ordre naturel

Mais cette voie lumineuse ne s’imposera pas seule. Elle demande une réorientation profonde de nos choix, de notre manière de vivre et de notre perspective du monde.

L’être humain, dans son état naturel, est fait pour être léger, joyeux, amical, calme et profondément en paix.

Lorsqu’il retrouve sa juste place dans l’univers, un sens émerge : une mission singulière, une fonction unique, parfaitement adaptée à son épanouissement.

Car en réalité, la Terre est un paradis qui ne demande cas être découvert.

Mais ce destin reste inaccessible tant que l’on persiste à alimenter un système qui nie notre nature profonde.

#### 2.2 Ennemi

Le véritable ennemi n’est pas un individu ou une organisation : c’est un système.

Un système qui fabrique l’ignorance, déforme l’humain, et détruit la sagesse pour mieux concentrer les richesses, le pouvoir et l’attention entre les mains d’une minorité.

Il repose sur un modèle perverti :

les plus violent — souvent au prix de leur âme — s’arrogent tout, pendant que la majorité, appauvrie, sert à nourrir cette machine froide et désincarnée.

Tout cela pour qu'une minorité puisse jouir d'une vie éphémère.

Mais ce système n’est pas animé par une pure malveillance. Il est le fruit d’une conscience malade.

Des êtres ignorants qui ne savent pas ce qu’ils détruisent.

Si vous n'avez jamais goûter une pomme, c'est impossible de savoir ce que vous loupez.

De la même manière, si vous n'avez jamais gouter a la lumière, vous ne connaissez que les ténèbres.

S’ils voyaient vraiment ce qui est possible, s’ils percevaient la beauté de ce qui leur est offert, ils feraient d’autres choix.

#### 2.3 Si rien ne change

Si personne ne se lève pour créer une alternative concrète, le monde se divisera.

Une minorité vivra dans des enclaves privilégiées, protégées, où règne une fausse abondance artificielle.

Le reste de l’humanité sera asservi, exploité, piégé dans des environnements déshumanisants, où chaque jour sera une lutte pour respirer, pour exister.

Il n’y aura plus d’espaces de repos, plus d’îlots de paix.

Et si les porteurs de conscience, ceux qui œuvrent pour une autre manière d’être au monde, venaient à disparaître…

Alors un point de non-retour serait franchi.

L’homme-machine aurait gagné. Et la lumière intérieure serait reléguée au rang d’un vieux mythe oublié.

Yohann MARTIN

Naturopathe, je partage avec vous mes découvertes sur la santé, le bien être et la spiritualité

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